Quelques jours plus tôt (samedi), on a été à la réserve d'animaux. Une autre belle activité familiale. D'ailleurs, on s'est pris une passe de saison. Elle est offerte à prix très avantageux (à peine 6 $ de plus pour la famille qu'une seule visite). Avec mes maniaques d'animaux, on va le rentabiliser. On l'a fait en bus, mais on peut aussi faire le tour à pied ou en raquette. Le nombre d'animaux est restreint, mais il y a plusieurs belles bêtes et elles sont présentées dans un environnement majestueux.
Lundi matin, Marie-Pierre est allée porter Colette, ma belle-mère, à l'aéroport à l'aurore (et même avant). Ça fait drôle depuis son départ. Elle faisait partie de la maison. Sans son apport, l'aménagement et l'adaptation aux lieux auraient été beaucoup plus compliqués. Elle nous a été d'une aide précieuse et elle nous manque déjà. Merci Colette !
Petite note : j'ai eu une surprise aujourd'hui. J'entrais au boulot quand j'ai entendu parler en québécois. Et la voix me disait quelque chose. En regardant comme il faut, j'ai reconnu le ministre Steven Blaney, un ancien Beauceron que j'ai connu dans une autre vie (alors que j'étais journaliste en Beauce). Aujourd'hui, il était au Yukon pour une rencontre de ministre et passait rencontrer la directrice générale de l'Association franco-yukonnaise. Je crois qu'il a fait encore plus le saut que moi. On a immortalisé le moment sur Twitter.
Sinon, je découvre mon milieu et continue à découvrir mon environnement de travail. J'essaie de rencontrer le plus de gens possible. À travers ça, j'écris et je fais des demandes de subvention. Tout se met en place et j'ai toujours autant de plaisir. J'ai aussi découvert quelque chose que je ne croyais plus jamais voir. Plutôt que d'envoyer un fichier informatique à l'imprimeur avant l'impression comme je le faisais au Québec, on imprime nos pages, on les colle sur du carton et on cire le tout. Ensuite, l'imprimeur s'en sert pour sortir les plaques. C'est fascinant de voir ça. Un procédé qui relève de l'artisanat. Malheureusement (ou heureusement à certains niveaux), cette pratique devrait se perdre dans les prochains mois puisque l'imprimeur va moderniser son équipement. Personnellement, je trouve que ça donne un côté concret à ce que l'on fait.
1 commentaire:
Quand j'ai commencé à travailler comme graphiste, je réalisais les prêts-à-photo (on disait PAP) dont tu parles. Suis étonnée que ce soit encore en usage.
Tu as l'air vraiment heureux dans tes fonctions et c'est ça me fait grand plaisir. Salutations à Marie-Pierre et aux enfants.
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