Quand j’écris un premier jet, il y a toujours un moment où je m’emballe.
Les débuts sont souvent laborieux, puis je trouve mon ton, mon rythme et tout s’écrit
tout seul (jusqu’à ce que je repasse dessus et me rende compte que le récit a
besoin d’une bonne réécriture). C’est comme ça, porté par cette magie, que j’ai
terminé samedi le premier jet d’un roman. Je n’en parlerai pas trop pour le
moment, puisqu’il reste encore pas mal de travail avant que ce ne soit publiable,
cependant c’est ce que j’ai écrit de plus long à ce jour (à terme ça devrait
tourner autour de 50 000 mots). C’est un récit de science-fiction (genre
que je visite très rarement) qui tient beaucoup du cyberpunk (genre que j’adore)
avec une bonne mesure d’enquête policière (on ne se refait pas).
Pour me changer les idées, j’ai deux textes qui en sont aux
dernières corrections et que je devrais soumettre sous peu : un conte
fantastique et une histoire d’horreur (probablement la plus crue et troublante
que j’ai écrite).
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