Petite pensée aujourd’hui que je n’ai malheureusement pas le temps de développer davantage.
Est-ce que vous avez la même impression que moi ? Celle de vivre dans un univers de fiction ? Les autorités qui réagissent à une possibilité d’invasion zombie en Floride (plus d'infos ici et ici). Des cas de cannibalismes (ou ici) digne de Baptême de sang, le procès d’un juge qui a des accents de Présumé Innocent (sans le charisme d’Harrisson Ford) et bien sûr Luka Rocco Magnotta. Ce dernier cas m’a particulièrement fasciné. Pas tant à cause du crime sordide ou de la vidéo qui l’entoure, mais parce qu’on ça m’a permis de voir la différence entre la réalité et la fiction. Le citoyen petit bourgeois en moi était bien heureux lorsqu’on l’a arrêté en Allemagne. L’auteur de fiction préférait le moment où il était en cavale. Ou tout était possible. Où les éléments arrivaient au compte-goutte, certains enflammant mon imagination (comme le fait qu’il avait écrit sur un blogue l’art de disparaitre).
Mais au final, une seule pensée me traverse : la réalité repousse clairement les limites de la fiction ! Ou la version plus honnête : on vit dans un monde de fous…
3 commentaires:
Hihi! Première impression, ça fait tout un effet quand le texte quasi complet se retrouve dans le titre et non pas dans le billet! ;)
L'histoire des zombies en Floride, ça donne l'impression de tomber dans un monde parallèle, ça!
Ouaip, on vit dans un monde de fou. Où certaines réalités sont en train de rejoindre certains romans de fiction. Drôle, étrange, inquiétant? Je ne sais plus trop, là... :S
Hep, le principal problème avec la vie, c'est qu'elle n'est pas soumise à la direction littéraire.
Aucun sens du rythme, beaucoup d'événements importants arrivent en même temps et on n'a pas le temps de les apprivoiser...
Pis en plus on est jamais sûrs du genre littéraire dans lequel on se retrouve! :P
@Isa : Je ne comprends pas trop quel bogue il y a eu, mais ça semble rentré dans l'ordre.
@Gen : Bien d'accord, ça prendrait une bonne direction littéraire. Remarque que c'est peut-être comme ça que les personnages secondaires vivent les choses.
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