mercredi 28 octobre 2015

Parlons d'horreur

Ce soir, j'étais invité à l'émission Jamais comme tout le monde sur les ondes de CKRL avec l'animatrice Tanya Beaumont en direct du Sortilège. Avec le réalisateur de courts métrages Marc Thibault,je devais parler d'horreur afin de donner le ton à quelques jours de l'Halloween.

Cela m'a amené à me questionner sur mon goût pour l'horreur. Vous, que recherchez-vous dans un livre/film d'horreur? Qu'est-ce qui vous plait dans ce genre? Y a-t-il une ou plusieurs oeuvres marquantes pour vous? Lesquelles?

Pour entendre ce que j'ai pu dire sensiblement sur ces questions (et sur d'autres thèmes connexes), vous n'avez qu'à suivre ce lien (l'intervention dure une vingtaine de minutes à partir de la 9e minute).

Pour ceux qui aimeraient voir la web série Peur chronique, c'est ici.

Mon seul regret, c'est que j'ai dû partir en coup de vent, car j'avais moins de 30 minutes pour me rendre à Lévis après l'émission diffusée depuis Le Sacrilège sur la rue Saint-Jean. C'est d'autant plus dommage que je suis tombé sur des collègues écrivains qui étaient dans le bar au moment de l'enregistrement.


2 commentaires:

Gen a dit...

Jeune adolescente (lire : quand mon père devait m'emprunter les Stephen King dans la section adulte de la bibliothèque parce que j'y avais pas encore accès), j'ai été une grande consommatrice de livres d'horreur (pas vraiment de films par contre, parce que je sursaute trop facilement et ça me gosse!).

Maintenant, j'ai un peu de mal avec l'horreur. Souvent, je la trouve, je sais pas... grossière. Pour qu'un récit d'horreur me plaise, l'élément fantastique par où l'horreur arrive doit être étroitement mêlé à la psychologie des personnages. À la limite, il faut qu'on puisse retirer le fantastique du récit et que ça reste une histoire horrifiante. Bref, j'suis plus dans le genre "The Long Walk" que "The Tommyknockers"

Unknown a dit...

Même si j'aime beaucoup l'horreur, je rejoins ton point de vue. J'ai besoin d'une certaine psychologie (ce que j'appelle la noirceur humaine), même dans les histoires de monstres. Parce qu'un monstre pour un monstre... disons que ça a tendance à me blaser.